Le site maison-miel.com http://www.maison-miel.com Thu, 17 Jul 2025 20:07:53 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 http://www.maison-miel.com/wp-content/uploads/2025/05/cropped-icon-32x32.png Le site maison-miel.com http://www.maison-miel.com 32 32 Les formations les plus demandées sur Parcoursup (et pourquoi ça coince parfois) http://www.maison-miel.com/les-formations-les-plus-demandees-sur-parcoursup-et-pourquoi-ca-coince-parfois/ http://www.maison-miel.com/les-formations-les-plus-demandees-sur-parcoursup-et-pourquoi-ca-coince-parfois/#respond Thu, 17 Jul 2025 19:54:14 +0000 http://www.maison-miel.com/les-formations-les-plus-demandees-sur-parcoursup-et-pourquoi-ca-coince-parfois/ Franchement, chaque année c’est pareil : Parcoursup ouvre, et c’est un peu comme les soldes chez Zara un samedi matin. Tout le monde se rue sur les mêmes formations. Tu t’es déjà demandé pourquoi certaines filières explosent les compteurs pendant que d’autres peinent à remplir les amphis ? Moi oui. Et je te préviens : ce n’est pas toujours très rationnel…

Des vœux qui tournent en boucle : les filières stars de Parcoursup

Bon, sans grande surprise, le trio de tête reste plutôt stable d’une année sur l’autre : médecine (maintenant appelée PASS ou LAS), droit, et psycho. Oui, oui, toujours eux. En 2024, les licences de droit ont encore dépassé les 270 000 vœux ! C’est énorme. À croire que tout le monde veut devenir avocat ou juriste en entreprise.

Et pourtant, quand tu creuses, beaucoup d’étudiants avouent avoir mis “droit” un peu par défaut. Parce que “ça ouvre plein de portes”, parce que “on verra bien”, ou carrément parce que “je savais pas quoi mettre d’autre”. Et c’est là que ça coince.

Pour ceux qui cherchent une autre porte d’entrée dans le monde pro, il y a des alternatives super concrètes du côté des formations courtes ou en apprentissage. Si ça t’intéresse, le site https://www.made-in-emplois.fr propose pas mal de pistes utiles pour voir ce qui matche vraiment avec ton profil.

Pourquoi ces formations attirent autant (même quand ça ne colle pas)

Prenons médecine. On ne va pas se mentir : la filière fait rêver. Sauver des vies, porter une blouse blanche, et parfois même finir chirurgien en chef dans une série Netflix (bon, ça c’est pour le cliché). Mais la réalité ? C’est ultra sélectif. En 2023, sur 100 000 candidats, seuls 15 000 ont eu une place en 2e année. Et je ne parle même pas du rythme : des partiels au bout de trois mois, des cours à n’en plus finir, et une pression constante.

Alors pourquoi autant de monde postule ? Peut-être à cause du prestige, du salaire futur (encore que, hein…), ou tout simplement parce que les conseillers d’orientation parlent rarement des autres voies médicales comme les IFSI (pour devenir infirmier) ou les écoles d’orthophonie. Pourtant, ces formations ont un vrai impact, sont plus accessibles… mais beaucoup moins mises en avant.

Les écoles de commerce post-bac : succès mérité ou emballement ?

Autre phénomène qui grimpe fort : les écoles de commerce accessibles directement après le bac. Certaines comme l’EM Normandie ou l’IESEG font un carton sur Parcoursup. Pourquoi ? Parce qu’elles promettent une vie étudiante dynamique, des stages à l’étranger, des cours “concrets”. Et ça, les jeunes adorent.

Mais attention au revers de la médaille : ces écoles sont souvent très chères (on parle de 8 000 à 12 000 euros l’année, parfois plus). Et toutes n’ont pas le même niveau de reconnaissance sur le marché du travail. Du coup, si t’es tenté, fais bien gaffe à comparer les accréditations, les classements, et surtout les débouchés réels. Pas juste les brochures.

Des filières sous-cotées mais pleines de potentiel

Tu veux un exemple concret ? Les BUT (ex-DUT) en informatique, génie civil ou marketing. Ces formations en 3 ans, souvent en alternance, cartonnent en sortie : 80 % d’insertion pro dans l’année. Et pourtant, elles restent souvent un choix “plan B” sur Parcoursup.

C’est dommage. Parce qu’elles offrent un bon équilibre entre théorie et pratique, un diplôme reconnu, et la possibilité de poursuivre en école ou en master. Alors pourquoi sont-elles boudées ? Peut-être à cause d’une image un peu “technique” ou parce que le lycée parle rarement des IUT…

Et toi, t’en avais entendu parler avant de remplir tes vœux ?

Ce qui coince vraiment avec Parcoursup

Soyons honnêtes : l’algorithme, les sous-vœux, les délais de réponse, le stress permanent… Tout ça, c’est pas très fun. Mais ce qui coince le plus, selon moi, c’est l’orientation trop rapide. À 17 ans, on te demande de choisir ton avenir. Sauf que t’as encore à peine fini de comprendre qui tu es. Normal que certains se plantent.

Résultat : près de 30 % des étudiants changent de voie après la première année. Et beaucoup disent qu’ils auraient aimé qu’on leur parle plus tôt des options concrètes, des vrais métiers derrière les formations, et pas juste des intitulés.

Alors, on fait quoi ?

Peut-être qu’il faut arrêter de fantasmer certaines filières, et commencer à parler des formations en partant des projets, des centres d’intérêt, et du quotidien réel des pros. Peut-être aussi qu’il faut plus de témoignages d’anciens, plus d’immersion, plus de terrain. Pas juste des lignes sur un écran.

Et si t’es en plein dedans, en train de cogiter pour tes vœux ou ceux de ton ado, un conseil : creuse, discute, explore. Les “formations les plus demandées” ne sont pas toujours celles qui te conviendront. Et c’est pas grave.

Tu veux un petit déclic ? Va voir un BTS en alternance, assiste à un cours de BUT, discute avec un étudiant en licence de sciences. Tu verras, parfois, ça fait tilt. Et c’est tout ce qui compte.

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Ces formations qui montent : zoom sur les écoles spécialisées en intelligence artificielle http://www.maison-miel.com/ces-formations-qui-montent-zoom-sur-les-ecoles-specialisees-en-intelligence-artificielle/ http://www.maison-miel.com/ces-formations-qui-montent-zoom-sur-les-ecoles-specialisees-en-intelligence-artificielle/#respond Wed, 16 Jul 2025 13:24:25 +0000 http://www.maison-miel.com/ces-formations-qui-montent-zoom-sur-les-ecoles-specialisees-en-intelligence-artificielle/ Franchement, qui aurait cru il y a 10 ans qu’on parlerait autant d’intelligence artificielle dans les écoles ? Aujourd’hui, c’est un peu *le* mot qui revient partout : dans les JT, les cafés, les dîners de famille et… dans les brochures des écoles. Et ce n’est pas un effet de mode. L’IA, c’est devenu un vrai levier d’employabilité. Résultat : de plus en plus d’écoles spécialisées sortent du lot. Certaines existent depuis longtemps, d’autres sont toutes récentes, mais toutes ont un point commun : elles répondent à une demande bien réelle.

Et quand je dis « réelle », je parle autant des étudiants que des recruteurs. J’ai récemment découvert via https://www.wismi.fr que les entreprises galèrent à trouver des profils bien formés en IA. Pas juste des « bidouilleurs », mais des gens qui comprennent les modèles, les données, les enjeux éthiques. Du coup, les écoles qui proposent des formations béton sont très vite repérées.

Des écoles d’ingénieurs aux nouvelles pépites 100% IA

On a bien sûr les grands classiques : Polytechnique, Télécom Paris, l’INSA Lyon… qui ont tous musclé leurs parcours pour intégrer de l’intelligence artificielle. Ces formations restent très techniques, orientées recherche ou ingénierie pure. Si tu aimes les maths, les algo, les lignes de code à rallonge (oui, il y en a qui adorent ça !), tu vas kiffer.

Mais ce qui explose aussi, ce sont les écoles 100 % IA. Je pense par exemple à IA School, qui s’est carrément spécialisée dans le mélange IA + business. Leur campus à Paris est super bien situé (près de Montparnasse) et l’ambiance est beaucoup plus start-up que grande école. Perso, j’ai trouvé ça rafraîchissant. On y croise des étudiants qui parlent autant de Python que de stratégie marketing. Et ça, c’est vraiment nouveau dans le paysage éducatif français.

Et si tu n’aimes pas coder ?

Tu te dis peut-être : “OK, mais moi l’IA, je trouve ça passionnant, sauf que coder, c’est pas mon truc.” Bonne nouvelle : il existe des formations qui t’ouvrent les portes du domaine sans t’imposer des heures de Java ou de TensorFlow.

Certaines écoles de communication ou de design intègrent désormais des modules sur l’IA. L’idée, c’est de comprendre comment ces technos influencent les usages, la créativité, la société. J’ai vu un projet étudiant bluffant à l’école Gobelins : une interface conversationnelle pensée pour aider les personnes âgées à mieux gérer leurs rendez-vous médicaux. Pas besoin d’être un crack en code, mais une vraie réflexion sur les usages et l’éthique.

Des débouchés qui explosent

Bon, soyons clairs : se former à l’intelligence artificielle aujourd’hui, c’est s’ouvrir des portes. Beaucoup. Data analyst, ingénieur en machine learning, chef de projet IA, product manager dans la tech… la liste est longue. Et les salaires ? Disons que ça pique un peu moins que dans d’autres secteurs. Un diplômé peut espérer commencer entre 38 000 et 45 000 euros par an, parfois plus si tu bosses dans une boîte américaine ou une scale-up parisienne.

Mais au-delà du salaire, il y a ce petit frisson : celui d’être dans un domaine qui bouge, qui invente, qui dérange parfois. T’as aussi la possibilité de bosser dans plein de secteurs différents : santé, finance, jeu vidéo, agroalimentaire… Oui oui, même dans l’agriculture, on utilise l’IA pour optimiser les récoltes !

Alors, quelle formation choisir ?

Tout dépend de ton profil. Tu sors du bac et tu veux une école qui t’embarque direct dans l’univers de l’IA ? Regarde les Bachelors spécialisés. Tu veux te reconvertir ? Certaines formations en alternance ou en ligne (comme celles proposées par OpenClassrooms ou Le Wagon) peuvent vraiment valoir le coup.

Un petit conseil perso : ne te jette pas sur la première école venue parce qu’elle a mis “intelligence artificielle” en gros sur son site. Regarde les contenus de cours, les stages proposés, les partenariats avec les entreprises. Appelle même un ou deux anciens élèves sur LinkedIn, ça ne coûte rien et ça peut t’éviter de mauvaises surprises.

Conclusion : un pari d’avenir, mais à faire les yeux ouverts

Se former à l’intelligence artificielle aujourd’hui, c’est un peu comme apprendre l’anglais dans les années 90 : ce n’est plus juste un « plus », c’est devenu un « must ». Mais attention, toutes les formations ne se valent pas. Certaines surfent sur la tendance sans proposer un vrai contenu solide.

Alors si tu veux te lancer, fais-le pour les bonnes raisons. Pas juste parce que « l’IA, c’est tendance », mais parce que tu sens que ce domaine t’intrigue, t’enthousiasme, ou même t’inquiète un peu (c’est pas un problème, au contraire).

Et toi, t’as déjà réfléchi à une formation en IA ? Ou tu te poses encore des questions ? Dis-le franchement, c’est normal de ne pas savoir par où commencer.

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Les meilleures écoles Montessori après 6 ans : notre sélection http://www.maison-miel.com/les-meilleures-ecoles-montessori-apres-6-ans-notre-selection/ http://www.maison-miel.com/les-meilleures-ecoles-montessori-apres-6-ans-notre-selection/#respond Wed, 16 Jul 2025 12:19:23 +0000 http://www.maison-miel.com/les-meilleures-ecoles-montessori-apres-6-ans-notre-selection/ Franchement, si tu lis cet article, c’est que t’as probablement déjà fait un bout de chemin avec la pédagogie Montessori. Peut-être en crèche, en maternelle… et là tu te demandes : *“Mais après 6 ans, on continue comment ?”* Parce que oui, Montessori, ce n’est pas que des petites chaises en bois et des perles colorées pour les tout-petits. La pédagogie va bien au-delà.

Et tu sais quoi ? Il y a des écoles qui la poursuivent jusqu’au collège, voire au lycée. Mais il faut fouiller un peu (beaucoup), parce qu’on est loin du parcours classique. Avant de te lister les écoles qui valent vraiment le détour, laisse-moi te partager une super découverte pour prolonger la démarche à la maison : le site https://www.editions-bullesdesavon.com propose des supports pédagogiques Montessori très bien pensés, surtout pour les 6-12 ans. J’en ai testé quelques-uns avec ma fille, et franchement, ça change tout.

Ce qu’il faut savoir avant de choisir une école Montessori après 6 ans

Alors, déjà, un truc à savoir : toutes les écoles qui se disent “Montessori” ne le sont pas vraiment. En France, le terme n’est pas protégé. Donc, mon conseil : ne te fie jamais uniquement au nom. Va sur place, pose des questions, observe les classes. Est-ce que les enfants travaillent en autonomie ? Est-ce qu’il y a du matériel Montessori authentique (tu sais, celui qui coûte une blinde, mais qui dure 20 ans) ? Est-ce que les éducateurs sont formés AMI ? Ça, c’est un peu la “référence” mondiale en matière de formation Montessori.

Autre point important : l’ambiance des 6-12 ans, ce n’est pas la même que celle des petits. On parle d’enfants qui commencent à raisonner, qui veulent comprendre le *pourquoi du comment*, qui posent des tonnes de questions existentielles. Il faut des éducateurs solides, passionnés, qui savent nourrir cette soif de sens sans tuer la curiosité.

Notre sélection des meilleures écoles Montessori après 6 ans

On a écumé les forums, échangé avec des parents (merci à Sophie de Lyon pour ses retours ultra précis !) et surtout visité plusieurs établissements. Voici ceux qui ressortent clairement du lot.

1. L’École Montessori Esclaibes – Bailly (78)

C’est un peu LA référence en France. Fondée par Sylvie d’Esclaibes, formatrice Montessori très reconnue, cette école accueille les enfants jusqu’au lycée. On y trouve une ambiance 6-12 ultra riche, avec un vrai projet d’ouverture à l’international, des stages, des ateliers philo, même des expériences scientifiques. Ce qui m’a bluffé ? Les enfants présentent eux-mêmes leurs projets devant les autres. Pas de notes, mais une vraie évaluation orale, dans le respect. C’est pas donné, mais la qualité est là.

2. L’École Montessori Internationale de Bordeaux-Gradignan

Si tu es du sud-ouest, cette école vaut vraiment le détour. L’équipe est super engagée, et l’environnement est juste dingue : un grand parc, des animaux, des ateliers cuisine, des maths avec du matériel jusqu’en 5ème ! Ce que j’ai adoré : ils font de la permaculture avec les enfants. Oui, oui. Et les grands aident les plus jeunes, ça crée une vraie dynamique de groupe.

3. L’École Montessori Les Pouces Verts – Paris 15e

Une pépite en plein Paris. Évidemment, c’est un peu serré côté espace (on est en ville), mais ils compensent avec des sorties régulières et un partenariat avec des associations locales. L’accent est mis sur la citoyenneté, les débats, la gestion des émotions. Les enfants participent à des “conseils d’élèves” façon mini-parlement. Perso, j’ai trouvé ça hyper inspirant.

4. Montessori 21 – Rueil-Malmaison

Montessori 21, c’est un réseau. Il y a plusieurs écoles, mais celle de Rueil propose un vrai cycle complet jusqu’à 12 ans. Ce qui est chouette, c’est leur volonté de rendre Montessori plus accessible, avec des tarifs plus abordables que d’autres écoles privées. Le projet pédagogique est clair, les classes multi-âges bien organisées. Et le contact avec les familles est vraiment fluide (ce n’est pas toujours le cas ailleurs…).

Et après 12 ans ?

Tu te poses peut-être déjà la question. Et c’est légitime. Après 12 ans, les écoles Montessori sont beaucoup plus rares. Il en existe quelques-unes, comme le Lycée International Montessori à Montesson (78), mais souvent les familles doivent faire des compromis ou opter pour des passerelles vers le système “classique”.

Cela dit, certains continuent l’esprit Montessori à la maison, avec des projets, des lectures, des voyages même. Ce n’est pas tout ou rien. Et c’est ça qui est chouette avec cette pédagogie : elle s’adapte. Pas besoin d’être “puriste”.

En résumé : où aller après 6 ans avec Montessori ?

Tu veux que ton enfant continue à apprendre à son rythme, à développer sa pensée critique, à bosser sur ce qui le passionne vraiment ? Alors oui, il existe des écoles Montessori pour les 6-12 ans – mais il faut creuser un peu.

Prends le temps de visiter, de discuter, de ressentir l’ambiance. Et rappelle-toi : le plus important, ce n’est pas le nom sur la porte, c’est ce qui se passe à l’intérieur de la classe.

T’as une école à recommander ? Ou une expérience à partager ? Franchement, écris-nous. On mettra à jour l’article avec les bons plans des parents sur le terrain.

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Top 7 des formations pour travailler dans le management sans passer par une grande école http://www.maison-miel.com/top-7-des-formations-pour-travailler-dans-le-management-sans-passer-par-une-grande-ecole/ http://www.maison-miel.com/top-7-des-formations-pour-travailler-dans-le-management-sans-passer-par-une-grande-ecole/#respond Mon, 26 May 2025 13:38:08 +0000 http://www.maison-miel.com/top-7-des-formations-pour-travailler-dans-le-management-sans-passer-par-une-grande-ecole/ Travailler dans le management, c’est souvent vu comme un parcours réservé aux étudiants sortis de grandes écoles. Pourtant, soyons honnêtes : tout le monde n’a pas envie (ou les moyens) de passer cinq ans à faire une prépa puis une école à 10 000€ l’année. Et franchement, ce n’est pas la seule voie. Le management, ça s’apprend aussi autrement. Et ça peut marcher très bien.

Il existe aujourd’hui plein de formations sérieuses, reconnues, souvent plus concrètes, parfois plus courtes, qui permettent de bosser dans le management. Et pas juste dans des petites boîtes : certaines de ces filières mènent à des postes en entreprise, dans les RH, le marketing ou même la gestion de projet. Le site https://www.manageurs.com en parle souvent avec pas mal d’actus et de conseils pratiques si ça vous intéresse.

Voici donc 7 vraies alternatives aux grandes écoles, à découvrir si vous visez un métier dans le management, sans passer par le moule classique.

BTS Management Commercial Opérationnel (MCO)

Concrètement, c’est une des formations les plus prisées après le bac pour entrer dans le monde du management. Le BTS MCO forme à la gestion d’un point de vente, d’une équipe, d’un budget. Deux ans seulement, souvent en alternance. C’est carré, opérationnel, et beaucoup d’étudiants trouvent un job direct après.

BUT GEA (Gestion des Entreprises et des Administrations)

Le BUT GEA, c’est un peu le couteau suisse de la gestion. C’est sur trois ans, dans les IUT publics. Et ça ouvre pas mal de portes : compta, RH, marketing, management de projet… La spécialisation en 2ᵉ ou 3ᵉ année permet vraiment de construire un parcours à la carte. Si vous aimez les chiffres mais aussi l’humain, c’est une super base.

Licence Pro Management des Organisations

Moins connue, mais très appréciée des recruteurs. Cette licence professionnelle (donc en un an après un bac+2) permet d’aller droit au but : elle est pensée pour apprendre à manager des équipes, organiser des process, piloter des projets. Idéale pour monter en compétences rapidement et viser un poste de manager intermédiaire.

Bachelor en école spécialisée

Il y a de plus en plus d’écoles qui proposent des bachelors en trois ans, très orientés terrain. Le truc, c’est de bien choisir l’établissement. Fuyez ceux qui n’affichent aucun taux d’insertion, ou qui vendent du rêve. Mais il y a aussi des écoles solides, reconnues par l’État, avec de vrais réseaux pros. Attention au prix par contre : certains bachelors coûtent presque aussi cher qu’une grande école.

Formation en alternance via un CFA

Les Centres de Formation d’Apprentis proposent des cursus en alternance super efficaces. On bosse, on est payé, et on apprend. Il existe des titres professionnels en management ou gestion d’équipe, accessibles dès le bac ou après un BTS. Perso, je trouve que c’est une des voies les plus concrètes pour apprendre à manager, directement sur le terrain.

Écoles de la CCI (Chambres de Commerce et d’Industrie)

Encore une filière méconnue mais très qualitative. Les écoles de la CCI (comme NEGOCIA, INFA, ou les écoles de commerce territoriales) proposent des formations en commerce, gestion, management, souvent en alternance. Et avec un réseau d’entreprises locales bien implanté. Si vous cherchez un format professionnalisant, c’est clairement à explorer.

Formations en ligne certifiantes (avec expérience pro)

Ça peut surprendre, mais certaines plateformes (comme OpenClassrooms ou Studi) proposent des formations en ligne en management, parfois en partenariat avec des entreprises. À condition d’avoir déjà une petite expérience pro, ça peut fonctionner. Le diplôme est certifié RNCP, et ça peut suffire à décrocher un job, surtout dans les PME.

Conclusion : il n’y a pas qu’un seul chemin pour devenir manager

Choisir de ne pas faire une grande école ne veut pas dire renoncer à une carrière dans le management. Au contraire, parfois, c’est même plus rapide, plus concret et franchement plus économique. L’essentiel, c’est d’apprendre, de pratiquer, et surtout de trouver une formation qui vous motive. Et vous, vous penchez pour laquelle ?

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Études supérieures : comment bien s’orienter quand on est perdu après le lycée ? http://www.maison-miel.com/etudes-superieures-comment-bien-sorienter-quand-on-est-perdu-apres-le-lycee/ http://www.maison-miel.com/etudes-superieures-comment-bien-sorienter-quand-on-est-perdu-apres-le-lycee/#respond Mon, 26 May 2025 10:09:46 +0000 http://www.maison-miel.com/etudes-superieures-comment-bien-sorienter-quand-on-est-perdu-apres-le-lycee/ Tu viens d’avoir ton bac, ou tu l’as en poche depuis quelques mois… et franchement, tu ne sais pas quoi faire ensuite. T’es pas seul. Vraiment pas. Chaque année, des milliers de lycéens se retrouvent dans ce flou total, entre fac, BTS, prépa, année sabbatique ou “j’en sais rien mais j’ai pas envie de faire n’importe quoi”.

Première chose : respire, t’as le droit d’être paumé

On te l’a peut-être jamais dit comme ça, mais se sentir largué après le lycée, c’est quasiment devenu une norme. T’as passé des années à suivre un programme, à cocher des cases, et là d’un coup, c’est open bar. Choisis ton avenir. Mais comment tu choisis, quand tu connais à peine ce qui existe ?

Perso, je pense que le plus important, au début, c’est de t’informer à fond. Pas juste lire trois brochures de fac ou écouter ton prof principal dire “va en fac de psycho si t’aimes les gens”. Non. Explore les vraies pistes, les témoignages, les parcours atypiques. Un super point de départ ? Ce site : https://www.luniversite-me-reussit.fr. C’est clair, utile, et surtout ça t’évite de te retrouver parachuté en licence histoire-géo alors que tu voulais bosser dans l’audiovisuel.

Pose-toi les bonnes questions (et accepte de pas avoir toutes les réponses)

Pas besoin d’avoir une vision ultra-précise de ton job à 30 ans. Sérieux, qui sait ça ? Mais tu peux te demander :

  • Est-ce que j’aime apprendre “à l’école” ? Ou je préfère du concret, tout de suite ?
  • Est-ce que je me vois dans un truc long comme la fac, ou plus court genre BTS/DUT ?
  • Est-ce que j’ai besoin de bouger, de voyager, ou au contraire de rester près de ma famille ?

Souvent, ces questions simples donnent des pistes. Si t’en as marre des cours classiques, un BUT en alternance peut être une vraie bouffée d’air. Si tu veux viser plus haut, mais que t’as pas envie de la prépa tradi, certaines écoles post-bac font le taf sans t’essorer mentalement.

Oublie les clichés : il n’y a pas une seule bonne voie

Je t’arrête tout de suite : non, faire une fac de lettres ne veut pas dire finir au chômage. Non, un BTS, ce n’est pas “moins bien” qu’une licence. Et oui, tu peux te réorienter sans que ce soit un drame ou un échec.

Un pote à moi a commencé en licence éco à Lille, a bifurqué en DUT info, puis a fini dans une école de design à Lyon. Aujourd’hui, il bosse dans une startup tech, et il a trouvé sa voie… après trois virages. C’est pas grave. Ça arrive à plein de gens.

Teste, explore, rencontre du monde

Un conseil ? Bouge. Participe à des salons étudiants (pas toujours fun, mais on y chope des idées). Va discuter avec des anciens élèves. Épluche les chaînes YouTube de gens qui parlent de leur école ou de leur parcours. Même TikTok peut servir à ça, si si.

Tu peux aussi demander à faire des journées d’immersion dans certaines formations. Une copine a passé un jour dans un IFSI (école d’infirmier), et ça l’a complètement reboostée. Avant, elle hésitait entre médecine, bio et rien du tout. Après, elle savait.

Et si t’as encore zéro idée ?

Bah… peut-être qu’une année de césure bien cadrée, c’est pas une mauvaise idée. Pas juste “je glande un an chez mes parents” hein. Mais bosser, voyager, faire du bénévolat, tester un service civique… Ça peut t’aider à y voir plus clair, à gagner en maturité, à découvrir ce que tu veux (et surtout ce que tu veux pas).

Ce qu’il faut retenir

Tu ne joues pas ta vie en choisissant ton orientation après le bac. C’est important, oui. Mais c’est pas irréversible. L’essentiel, c’est de bouger, de chercher, d’essayer. De ne pas rester planté là à attendre qu’une idée magique tombe du ciel.

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Quelles formations pour un métier entre entreprise, innovation et design ? http://www.maison-miel.com/quelles-formations-pour-un-metier-entre-entreprise-innovation-et-design/ http://www.maison-miel.com/quelles-formations-pour-un-metier-entre-entreprise-innovation-et-design/#respond Sun, 11 May 2025 16:44:42 +0000 http://www.maison-miel.com/quelles-formations-pour-un-metier-entre-entreprise-innovation-et-design/ Tu te sens à la croisée des chemins entre le monde de l’entreprise, l’envie de créer, et cette petite étincelle pour le design ou l’innovation ? Franchement, tu n’es pas seul. De plus en plus de jeunes veulent sortir des cases classiques pour bosser dans des métiers hybrides, où on peut à la fois réfléchir stratégie, penser produit, imaginer des solutions et… construire du concret. Mais alors, quelle formation choisir pour ne pas s’enfermer dans un seul univers ?

Avant de plonger dans les écoles ou les cursus, une chose à savoir : il existe *vraiment* des parcours qui mixent business, créativité et technologie. Et ce n’est pas réservé à Paris ou aux écoles ultra chères. Jette un œil à ce que propose le site https://www.entreprise-et-design.fr : c’est une mine d’infos si tu veux comprendre comment le design s’intègre dans l’économie d’aujourd’hui, avec des exemples d’entreprises, de formations, de projets concrets. Perso, j’ai appris plein de trucs que je n’imaginais pas.

Design management, innovation, stratégie : des formations qui cassent les codes

Bon, concrètement, vers quoi se tourner ? Plusieurs types de formations peuvent coller :

  • Les écoles de design avec un volet stratégique ou entrepreneurial : certaines écoles comme Strate (à Sèvres), l’ENSCI-Les Ateliers (à Paris) ou Rubika (à Valenciennes) proposent des cursus où on t’apprend autant à penser « produit » qu’à monter un projet ou bosser avec des ingénieurs et des managers. C’est du design appliqué, très ancré dans le réel.
  • Les écoles de commerce avec une option innovation ou design thinking : HEC, l’EMLyon ou Audencia ont intégré des modules très poussés autour de la créativité, du prototypage, des méthodes agiles. Ça peut paraître surprenant, mais c’est en train de devenir un vrai sujet stratégique pour eux.
  • Les formations hybrides type “double diplôme” : par exemple, un master en école de commerce + un diplôme en design ou innovation dans une école partenaire. C’est plus long, mais ça ouvre grand les portes (et l’esprit).

Et si tu n’as pas envie de passer 5 ans sur les bancs, regarde aussi les Bachelor spécialisés. Certaines écoles post-bac proposent dès la 1re année des parcours orientés “entreprise créative” ou “innovation durable”. Il faut fouiller un peu, mais il y a de vraies pépites.

Se former autrement : bootcamps, expériences pro, stages engagés

Et puis, soyons honnêtes : les diplômes, c’est bien, mais pas suffisant. Si tu veux vraiment comprendre comment fonctionne un produit, une marque, un process d’innovation, il faut mettre les mains dedans.

Aujourd’hui, plein de boîtes recherchent des profils capables de jongler entre les idées et l’exécution. Faire un stage dans une startup, participer à un hackathon, rejoindre un bootcamp design/business (comme ceux proposés par Le Wagon, par exemple), ça peut parfois t’apprendre autant qu’un semestre de cours. Et en plus, ça alimente ton réseau (et ton CV).

Ce qu’il faut retenir (et se répéter quand on doute)

Tu veux un job où tu peux créer, gérer, innover, vendre, comprendre, transformer ? C’est possible. C’est même pile ce que cherchent beaucoup d’entreprises aujourd’hui. Le tout, c’est de choisir une formation qui ne t’enferme pas dans une seule logique.

Pense aux ponts entre design et business. Ne te laisse pas impressionner par les intitulés flous ou les écoles aux logos trop clinquants. Ce qui compte, c’est : est-ce que tu vas y apprendre à faire des choses ? À bosser en équipe ? À comprendre des vrais problèmes ?

Et si en plus tu peux allier sens, créativité et stratégie… tu tiens peut-être ton futur métier.

Alors, prêt(e) à sortir des sentiers battus ?

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